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ACTUALITÉ

Quand la folie gouverne le monde…


La folie est le fait de ne pas considérer la réalité pour ce qu’elle est, de l’accepter comme telle, et d’agir en conséquence.

Chacune de ces propositions est caractéristique de la gauche mondiale. Cette mouvance a perdu sa raison d’être lors de la chute de l’URSS et du mur de Berlin, et tente depuis, désespérément, de retrouver de l’oxygène. Alors elle s’inventa « une fin de l’histoire », une « fin des nations » ou l’avènement d’un monde transgenre voire, dans un galimatias qui lui est propre, d’un monde non « genré ». Cette pathologie nie, dans ce but, les races, les sexes, les ethnies, les peuples et les nations. En Occident, cette force « morale » (ou lâche, c’est selon) s’accrocha à Barack Hussein Obama comme à un messie qui allait clore le cycle de la « blancheur » européenne.

Et cette obsession du blanc à éradiquer s’est transformée, en 2016, en la certitude d’avoir remporté l’élection présidentielle américaine grâce au « vote populaire » et de se l’être fait voler à cause du « collège électoral ». À ce propos je dois témoigner d’une anecdote datant du 9 novembre 2016, lors d’un passage sur France 2 pour parler de l’arrivée au pouvoir de Donald Trump. Au maquillage, Roselyne Bachelot, permanente de cette émission, m’apostropha, tout en pianotant sur son ordinateur, pour me demander le nombre des voix qui s’étaient portées sur Trump. Je n’en avais aucune idée puisque le résultat était officiel et que le dépouillement non encore clos. Et ce fut à l’antenne, quelques minutes plus tard que je compris sa demande : elle s’emporta contre la constitution américaine qui était archaïque puisqu’elle pouvait élire un président obtenant moins de voix nationalement que son adversaire (Ce qui arriva quelques fois en effet). En France, si la gauche est devant un résultat qui ne lui plaît pas, elle change la constitution du pays en question, et si elle a un problème avec l’islam elle modifie le Coran, etc. Mais comme l’avait dit Mermaz en 1981, si on est élu, et donc si le pays « passe de l’ombre à la lumière », il n’y a plus de retour en arrière possible, c’est inscrit dans le marbre.

Cette controverse a duré des mois alors même que la fraude électorale (Après enquête de la commission officielle) avait atteint un niveau impressionnant, qu’on avait admis en Californie des non-citoyens au vote, et même des illégaux par millions et que, nonobstant, le « vote populaire » ne fut pas, en définitif, défavorable à Donald Trump. Et dès les jours qui suivirent, Hillary Clinton lança l’accusation de l’intervention russe dans la campagne électorale.

Ce qu’on ignorait alors, c’est que le complot était fomenté de l’intérieur du FBI et d’autres agences fédérales, que les écoutes des responsables de la campagne Trump étaient déjà engagées sur des bases illégales, et que la constitution du faux dossier Steel avait été financée par le parti Démocrate, dossier transmis au FBI en toute connaissance de cause par « l’intouchable » John Mac Cain qui vitupéra contre Trump et le torpilla durant toute la législature, l’invectivant et l’anathémisant jusque sur son lit de mort.

Il y eut ainsi la mise en accusation, puis la démission du général Flynn (Conseiller du président élu et membre de son Conseil de sécurité) qui fut interrogé par l’agent Strosk sous la houlette de Andrew Mac Cabe (sans lui annoncer qu’il s’agissait d’une enquête officielle) puis inculpé sans condamnation. Il y eut d’autres victimes comme récemment Roger Stone dont l’arrestation fut d’une violence extrême, et Paul Manafort condamné à 4 ans de prison pour des infractions financières datant de bien avant la campagne.

Cette persécution fut possible grâce à la nomination en 2016 par le Congrès à majorité républicaine d’un procureur spécial Robert Mueller, ancien directeur du FBI sous G.W. Bush, qui s’entoura de légistes militants et démocrates qui cherchèrent pendant trois ans, pour un coût de 30 millions de dollars, à trouver un crime ou au moins une infraction dans la famille Trump, puis dans son entourage, enfin dans la vie personnelle du président.

À partir de là, le mot « impeachment » n’a cessé d’être prononcé et même des résolutions dans ce sens d’être déposées sur le bureau de la Chambre des représentants par des démocrates qui ne désignèrent plus le président que par les termes de « criminel » et de « malade mental ».

Le rapport du procureur est déposé, le ministre de la Justice vient de déclarer qu’il ne contenait ni accusation de collusion avec la Russie, ni celle d’obstruction à la justice de la part du président Donald Trump.

Normalement, dans toute société bien sur ses pieds, chez toute personne sensée, la cause eût du être entendue : on avait calomnié un homme pendant trois ans et il fallait que le sabbat cessât.

Et bien non ! On eut les pleurs de Rachel Madow et les déplorables « regrets » de Scarborough sur MSNBC, ceux des commentateurs sur CNN, les déclarations d’Adam Schiff, leader de la majorité démocrate à la Chambre, les anathèmes de Maxine Water – dite « Mad Max » – élue de Californie et « reine de l’impeachment », et même la mise en cause du procureur Mueller qu’on voudrait assigner devant la commission sur le renseignement de la Chambre des représentants, d’autres démocrates criant qu’ils « détiennent d’autres preuves » !

Ce carnaval des frustrations ne va pas s’apaiser. Le représentant de la Nouvelle-Orléans, Steve Scalise, ancien chef de la majorité républicaine jusqu’en novembre dernier, grièvement blessé par un militant de gauche en 2017 à Alexandria, affirma hier que les démocrates n’étaient pas près d’arrêter de harceler le président, et on apprit hier à ce sujet que neuf enquêtes lancées par la Chambre des représentants vont continuer sans faillir.

Comment mieux dire que ces gens, cosmopolites par intérêt ou par passion, ne vivent plus dans le même pays que leurs concitoyens ? Et qu’ils sont démocrates à la mode des « démocraties populaires » de la guerre froide ?

Comment peut-on arriver à ce point de dislocation mentale qui fait que la main gauche ne reconnaît plus la main droite comme faisant partie du même être qu’elle, et la tranche ?

Certes, le peuple de Rome se retira un jour sur l’Aventin, ce qui nous valut le discours sur la tête et les membres, mais que peut-on attendre aujourd’hui de ces têtes vides que nous ont forgées des apprentis-sorciers depuis 1968 ?

Donald Trump est innocent des crimes dont on l’accuse, et même son ennemi Avenatti, l’avocat de « Stormy » Danielle, qui voulait le salir et que Mueller a bien tenté d’utiliser, vient d’être arrêté pour divers délits de droit commun. Mais cela arrête-t-il ceux qui considèrent la politique comme un combat à mort où la « morale » ne se trouve que d’un côté ?

Mais la folie n’atteint-elle que l’Amérique ? Certes non !

La Grande-Bretagne par exemple. Son service d’examen des demandes d’asile vient de refuser un Iranien chrétien au motif que les livres (lesquels ?) sur lesquels s’appuient sa foi contiennent des passages violents. Mais les djihadistes sont les bienvenus, et peut-être sa gracieuse Majesté a-t-elle du souci à se faire…

Toujours chez la perfide Albion, la tragi-comédie du Brexit, à deux doigts de finir en vaudeville, se poursuit. Et la volonté du peuple me direz-vous ? On s’en balance !

En Italie, un Sénégalais tente de faire griller la cinquantaine d’enfants qu’il devait conduire dans un car qu’on lui avait confié, et cet autodafé aurait eu comme prétexte de venger les migrants noyés en Méditerranée. Qu’en pense une élue de gauche ? Elle « comprend ses motivations »… Mais pas celles de l’Australien qui commit l’attentat de Christchurch contre deux mosquées…

Quant à la Nouvelle-Zélande, elle est de plus en plus surréaliste. Déjà accueillir, à des milliers de kilomètres de toute terre à majorité musulmane, deux mosquées dans une ville du nom de Christchurch il fallait l’oser, imaginez une église à la Mecque ou Médine…

Mais voir cette « première communiante » déguisée en « Premier ministre » au hidjab de pénitence pour se faire pardonner et servir, en s’abaissant, de paratonnerre pour éviter des représailles islamistes sur son sol, donne une idée de l’infini que seule la bêtise ou la bassesse sont en mesure d’exprimer. Il faudrait qu’elle sache, cette frêle jeune femme, que plus de 100 000 attentats (96 400 en 2014) islamistes ont été commis depuis 2001 dans le monde causant plus de 200 000 morts et des centaines de milliers de blessés.

Nous vivons une époque épique et nous n’avons pas fini d’en rire et d’en souffrir.

Il nous faut traverser ces temps comme Ulysse le détroit aux sirènes, soit en se bouchant les oreilles comme il le fit pour ses marins, soit en s’attachant à quelque solide appui comme il le fit lui-même en se liant au mat…

Georges Clément

Président du Comité Trump France

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